lundi 14 mai 2018

Un pot de départ?

Faire ou ne pas faire une fête d'adieu, that is the question!

Ceux qui me connaissent le savent, je n'aime pas les "au revoir",  je n'aime pas quitter les gens. Alors des adieux, je ne peux pas l'imaginer!

Oui, mais voilà, on part. C'est certain, la date est fixée et les billets d'avion sont réservés.

Je suis un peu tourneboulée, je n'ai pas envie de pleurer toute la soirée (rien que d'y penser j'ai les larmes aux yeux) et je n'ai pas envie qu'on parte comme des voleurs non plus.


Ça me travaille tellement que je cherche des articles sur internet (cet article est une pépite  tant il résonne pour moi).
J'en discute avec les copines (après tout, ce sont elles que je vais quitter!) pour m'aider à faire un choix. "C'est important de marquer la fin", "cette expatriation est une expérience riche et intense, faut pas la terminer n'importe comment". "Fais quelque chose qui te ressemble" (et fuir, c'est pas trop notre truc).
Puis, petit à petit, l'idée de passer du temps avec des gens bons prend le dessus. 

La fête de départ, c'est aussi un moment où l'on est bien entourés, on se sent compris et soutenus. La décision est prise: on fera un pique-nique de départ. Je prévois un petit stock de mouchoirs. Chacune viendra quand elle veut, avec qui il veut (conjoint, enfants...)!

Les filles, on se retrouve au parc en bas de la maison : парк дружбы : le parc de l'amitié. Ça ne s'invente pas!

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Les fontaines Wallace

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