Un grand philosophe du XXème siècle a écrit : "La patience, c'est juste une perte de temps". Célou a immédiatement adopté cette devise.
Il semblerait cependant que ce soit une vertu indispensable à qui veut s'expatrier. Nous vivons aujourd'hui dans l'attente de nos visas.
La période n'est guère propice aux bons échanges entre les pays, ce qui donne des délais qui s'allongent pour nos demandes de visas, notamment le provisoire de Stick. D'abord annoncé pour le 1er Juin, puis pour le 10, il semble qu'on s'achemine vers un retrait du passeport le 20 Juin.
Donc nous n'avons pas de certitude quant à la date de nos départs respectifs. Pendant ce temps, la recherche d'appartement est au point mort, ce qui ne nous aide pas à prendre confiance ou à nous projeter dans notre vie future. L'un des 2 appartements que nous avions repérés est déjà loué, et les négociations sont en cours pour l'autre. Si ça plante, il faudra reprendre les recherches de zéro.
Nous allons d'imprévus en imprévus, qui ont une fâcheuse tendance à perturber notre planning très bien organisé au moment où on ne les attend pas, les bougres.
Cette incertitude nous rend légèrement irritables, pénibles pas toujours à prendre avec des pincettes.
Nous qui étions sur un rythme assez soutenu de travaux, rangements, évacuations diverses, vente, etc... Tout est comme suspendu avec ces retards ; et reprendra donc de plus belle fin de la semaine normalement, lorsque Stick sera sur le point de partir.
Néanmoins, ce petit break nous fait du bien et nous permet de souffler un peu. On se remet à jour, on se repose s'occupe de nos enfants.
On devrait avoir plus d'éléments dans la semaine... sauf imprévus!
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