336 rivières se jettent dans le lac Baïkal et une seule en sort. Le lac se déverse dans l'Angara, qui traverse ensuite la ville d'Irkoutsk, pour rejoindre le fleuve Ienisseï.
Et au milieu de cette sortie, un rocher.
La légende veut que le Père Baïkal en colère ait jeté ce rocher après sa fille Angara, partie rejoindre son amoureux Ienisseï... C'est un lieu symbolique où on prête serment et où l'on s'engage durablement.
C'est aussi le seul endroit du lac qui ne gèle jamais même en hiver, du fait du courant perpétuel.
Je crains d'avoir mal compris. C'est cette toute petite chose qui dépasse à peine au milieu de l'immensité ?
RépondreSupprimerOui, oui, c'est bien ça. Et je n'aimerais pas prendre cette "toute petite chose" sur la tête.
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